La livraison à domicile ou de l’esclavagisme moderne…
Bonjour à tous,
A défaut de nouvelles makeupesques, je vous donne un peu des nouvelles de ma nouvelle vie.
J’ai emménagé officiellement depuis le 02 mai et il y a des hauts, il y a des bas…(Ca me rappelle une chanson ça)
Heureusement j’ai un tas d’amis qui sont là pour m’épauler, je passe des heures au téléphone ou sur MSN pour me sentir moins seule…
Bref passons !!
Quand on habite au 5e étage sans ascenseur, il faut se débrouiller un max pour avoir le moins de choses lourdes à monter.
En emménageant, vous vous doutez que je ‘avais rien dans mes placards, ni victuailles, ni produits d’entretien, rien !!!
J’avais le choix :
Soit d’acheter des bricoles tous les soirs et les monter petit à petit (vous imaginez bien les inconvénients de cette méthode)
Soit faire mes courses en ligne sur internet et me faire livrer : L’inconvénient de cette méthode est qu’on ne trouve pas tout les produits, on est limité à certaines marques.
La 3e solution, fut d’aller faire mes courses dans ma grande surface habituelle et passer à la caisse « livraison à domicile ». La livraison coûte entre 10 et 13€ en fonction de l’arrondissement (pour 200€ c’est gratos). Par chance j’avais un bon de livraison gratuite.
La grande surface s’engage à livrer sous 3 heures à partir du passage en caisse.
Bon me voilà de retour chez moi, toute contente de m’être délesté d’une partie de ma paye et me voilà dans l’attente du livreur.
Environ 2 heures après, coup de téléphone, le livreur arrive !! Youpiiii !
Il faut savoir aussi qu’ils ne livraient pas après le 5e étage donc j’ai eu beaucoup de chance.
Je guète les pas du livreur et je n’entends rien…les minutes s’égrènent…Rien
Puis j’entends des bruits de sac, je m’avance dans le couloir et là !!! HORREUR !!!
Me voilà dans le rôle de Scarlett O’Hara !! En face de moi un jeune homme peinant avec 4 ou 5 sacs de chaque côté des épaules…
Je me suis confondu en excuse de l’avoir fait monter 5 étages, lui m’assurant que c’était son travail…Mais j’ai vraiment cru un moment avoir fait un retour dans les champs de coton…
N’empêche, j’ai honte mais ça m’a bien dépanné…